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Une levrette sans fessée, c’est comme un rap sans gros mot ?

Une levrette sans fessée, c’est comme un rap sans gros mot ?Avec une levrette, une fessée est souvent appréciée

Le 25 avril 2013,

« J’ai envie d’embrasser tes seins » c’est ce que j’ai envoyé par SMS à la nana de samedi soir. On a un peu parlé par SMS et tout puis on s’est donné rendez-vous hier soir, vers 21h (enfin plutôt 21h30 selon mon fuseau horaire d’éternel retardataire) pour boire un verre. « Allô !! Tu veux m’embrasser les seins mais tu viens pas !! Non mais allô !!! » c’est ce que j’ai reçu parce que j’étais en retard. Une fille pleine d’humour, donc.

On s’est installés pour boire un coup mais elle a commencé à faire chier, à trouver que le service n’allait pas assez vite, à me répéter qu’elle n’avait rien à faire là, que son mec venait de la larguer et qu’on avait rien à se dire. Elle me faisait chier aussi parce que je buvais du vin et non de la bière comme tous les beaufs qu’elle a sûrement l’habitude de fréquenter (ici, la bière est une insulte à la bière hein c’est de l’eau et de la pisse pour 5€). Ca me saoulait de la voir aussi mal à l’aise, alors je l’ai laissée boire. Elle me disait « je comprends pas que t’aies eu envie de me revoir »… donc : une bonne grosse LSE, comme on les aime (pas). Elle m’a dit des trucs un peu chelous aussi comme par exemples « tu ressembles à un psychopathe charmeur », « baiser avec moi ne sera pas une victoire pour toi mais pour moi vu que mon mec ne m’a pas touchée depuis 3 mois » et autres « mon ex a été casté pour [je ne sais plus quelle télé réalité] tellement il était beau ». Rien à foutre de tout ça, moi… ça va pas me donner des complexes hein j’ai passé l’âge de me comparer à d’autres gus…

Trois bières plus tard, dans un autre pub, je commençais à retrouver la nana délirante et pétillante qui m’avait donné envie de la déglinguer le WE dernier. On a commencé à parler aux deux mecs de la table à côté en leur proposant un plan à 3. En gros, on les a baratinés qu’on était libertins et tout et qu’on cherchait un gars pour la fourrer en sandwich. Le mec qui était visé avait une copine absente pour le WE alors il était partant, il nous a donné son numéro.  L’autre gus était un peu dég’ qu’on ne lui propose rien alors il a dit qu’il pourrait nous filmer. Que de la gueule, je parie…

L’affaire semblait conclue lorsque trois papis sont passés devant nous et que cette folle les a apostrophés. Ils avaient la cinquantaine : deux ingénieurs et un américain. On leur a demandé leurs avis sur plein de trucs « une levrette sans fessée, c’est comme un rap sans gros mot ? » et ils étaient bon délire et tout. Ils m’ont demandé ce que je faisais dans la vie, j’ai répondu « je suis rappeur et j’ai plus de flow qu’une femme fontaine ».

Du coup, on a passé la soirée avec les deux gus du départ et les trois papis. Un des pépés devait travailler tôt le lendemain alors il est parti mais avant a tenté un « t’as déjà embrassé un cinquantenaire ? » elle a répondu « non » et il a kiss ma meuf sous mes yeux. J’ai capoté. Elle aussi est restée bouche bée d’ailleurs. Ceci dit, ça m’a un peu rappelé à l’ordre : quand je fais du crash and burn, en vrai faut pas que j’attende l’autorisation de la fille : je dois plutôt lancer mon kiss opener et m’approcher de ses lèvres. Leur forcer un peu la main (pour leur bien) sera à mon avis plus productif (réponse lors de la prochaine session). La conclusion en gros c’est que lui faire dire non ou l’embrasser apportera plus de résultats que d’attendre qu’elle dise oui.

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A ce moment là, j’crois qu’elle se demandait sincèrement si j’avais encore envie de la niquer. Du coup, elle faisait de gros efforts pour se rendre intéressante parce que même si ça lui plaisait de faire triquer trois queue grisonnantes, c’est sur ma bite qu’elle désirait sauter en fin de soirée. Elle a alors branché trois meufs de 16 piges « on est en 1°ES » qui passaient par là. On leur a baratiné qu’on travaillait pour Alexia Laroche-Joubert, qu’on programmait des émissions de télé-réalité et les pitchounes étaient à fond. Elles étaient mignonnes, les petites chattes.

J’en ai eu marre à un moment, alors j’ai dit « viens bébé on rentre j’ai envie de te baiser ». On s’est dirigés vers chez moi sous les yeux envieux de la population masculine du bar et elle a commencé à flipper. « Je vais rentrer chez moi et tout, c’est mieux non ? J’ai trop peur, je sais plus faire ça moi ». Une fois à poils, elle voulait boire, moi pas. Depuis le début, elle n’arrêtait de dire un truc puis son contraire, alors ça m’a soulé et je l’ai prise en mode bestial. On a baisé, sans capote, putain. Elle m’a sucé, c’était cool, sinon le reste du rodéo était bof. A un moment, cette grosse maladroite m’a mis un coup de genou dans le paquet en se retournant, ça fait mal. Par contre, elle m’a dit « étrangle-moi… plus fort » , « mets-moi des claques » et « baise ma bouche !!! Baise ma bouche !!! »  . En gros, elle voulait que je la frappe et que je l’insulte en la baisant. Je l’ai fait. (Beaucoup de nanas sont en fait des soumises sexuellement, c’est dans leur nature profonde j’crois, j’pense ici également à la rousse qui veut me faire une branlette espagnole et que je finisse en faciale.) Elle m’a expliqué qu’elle se sentait coupable vis-à-vis de son mec et tout et m’a demandé si j’étais amoureux d’elle, c’est pas des blagues. J’ai éclaté de rire à ce moment là, et ça ne lui a pas plu du tout alors elle s’est rhabillée puis est rentrée chez elle.

Sinon, j’ai passé une bonne soirée, j’ai beaucoup déliré et j’ai fini par la tringler malgré qu’elle soit torturée. Heureusement d’ailleurs, car une soirée alcoolisée sans sexe c’est aussi inutile qu’un phallus mou en face d’un col de l’utérus. Une fille très spéciale de plus au compteur, donc. Pas de regret, c’est l’essentiel.

Que le Dieu du Game soit avec nous !

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3 commentaires sur “Une levrette sans fessée, c’est comme un rap sans gros mot ?”

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