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Le pouvoir de l’acceptation implicite

Le pouvoir de l’acceptation impliciteL’objectif :

Pour l’inconscient, le fait de ne pas contester quelque chose est équivalent au fait de l’accepter. Grâce à la technique simplissime de la non-contestation, vous allez donc pouvoir mettre en place des bonnes frames (signification sous-jacente des choses dans vos interactions). Les filles vous valideront donc malgré elles !

 

La réalisation :

Il y a deux principales façons de procéder :
– l’alibi : c’est par exemple quand on utilise l’humour pour faire passer une phrase qui ne serait pas bien passée sans ;
– le retrait : en annulant l’élément bordeline tout de suite, on évite qu’il soit contesté… mais le cerveau de la cible l’imaginera tout de même.

Si ça a l’air complexe, attendez les exemples.

 

Les exemples :

1/ « On pourrait aller chez moi, je te masserai pour te détendre »

Si la fille est enthousiaste, allez droit au FC. Par contre, si elle fait mine de vouloir résister : retirez votre proposition.

« Ah non attends, vu que t’as l’air très tendue, je ne pense pas que j’aurai assez d’huile de massage. »

La fille n’ayant pas eu le temps de contester, son imagination sera sollicitée et l’idée fera du chemin dans sa tête. Elle ne vous verra dorénavant plus de la même façon, elle vous verra comme quelqu’un de plus sexué.

 

2/ « Tu vas devenir ma nouvelle petite amie si tu continues à sourire comme ça… »

Là, comme il n’y a pas d’invitation directe, vous pouvez lui faire le coup du push&pull. C’est gratuit mais ça fera bien monter votre valeur.

« Ah non mais tu aimes les films de Tarantino, désolé, on va devoir rompre en fait. »

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Ainsi : elle n’a pas eu le temps de contester qu’elle sera votre petite amie, et en plus, vous instaurez la frame selon laquelle c’est vous qui choisissez de la prendre ou de la laisser.

Vous communiquez implicitement beaucoup de choses en procédant comme ça.

 

3/ « Pff, mon sexe est trop endurant, j’en ai marre de voir les filles que je baise s’évanouir de plaisir parce qu’elles n’ont plus de force après 50 orgasmes ».

Là, c’est un exemple d’alibi : vous utilisez l’exagération pour que le message soit écouté et ne soit pas ridicule (sinon ce serait de la vantardise).

Et puis, vous allez annuler cette phrase « hey ne sois pas choquée, je plaisantais » ou « aller rigole, fais pas la coincée » ! Il n’empêche qu’après ça, l’idée est passée dans son inconscient et qu’elle vous a tout de même imaginé comme un bon baiseur.

 

4/ « Hey, arrête de matter mes fesses ! Tu veux les prendre en photo, c’est ça ? Je t’en cède les droits de diffusion pour 500€ par mois si tu veux. »

En accusant la fille d’avoir l’esprit mal tourné, vous la faites penser à ces choses-là : vous lui mettez effectivement des idées cochonnes en tête ! Vous la guidez vers la coquinerie… c’est ça, la force de ce genre de plaisanteries.

Enfin, souvenez-vous que vous devez faire ça en étant plus ou moins subtile (pas en passant pour un gros beauf) et en disant les choses de façon crédible. Je veux dire par là que vous ne pouvez décemment pas la taquiner ni jouer le dieu du sexe avec la voix qui tremble, en regardant vos pieds ou en étant trop vulgaire…

Bon courage !

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1 commentaire pour “Le pouvoir de l’acceptation implicite”

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