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Bons baisers de Russie

Plan à 3 avec une russe

Le 1er février 2016,

Ca a été un peu dur comme week-end. Ca tape encore dans ma tête alors que j’suis censé faire un bilan à la con au bureau. Tout tourne, je suis dans le mal… mais ça valait le coup, enfin j’crois.

Vendredi dans la journée on s’est pas mal disputés avec La Prof : elle m’a fait une grosse crise de jalousie pour avoir l’exclusivité sexuelle. Crise qui m’a obligé à la recadrer en lui disant que si elle me voulait, pour l’instant c’était comme ça et que sinon on ne se verrait plus. Tout à coup, elle a changé d’avis et m’a avoué son amour. « Je ne veux pas être amoureuse de toi, tu vas me faire du mal… mais c’est trop tard… au fait tu viens ce soir au resto avec mes amis et moi ?
– Je ne sais pas.
– Pourquoi ?
– J’ai pas envie que tu me fasses une crise.
– Promis, j’ai juste besoin de te voir, c’est tout, pas de scandale, on repart de zéro. »

C’est la putain de période fiscale à la con qui commence au taf. Du coup, j’ai travaillé comme un ouf vendredi jusqu’à 19h passées mais le resto était à 20h donc j’y ai foncé juste après. J’ai pas soufflé une seconde. En plus, sa meilleure amie avait la gastro (elle s’est d’ailleurs vomi sur les shoes après avoir bouffé) donc j’ai peur de l’avoir choppée !

Ensuite, après mangé, on avait rendez-vous avec La Russe dans un bar pour prendre un verre vers 23h. Sauf qu’elle nous a rejoint à l’arrêt de métro Bellecour car elle habite pas loin alors on lui a demandé si ce ne serait pas plus simple d’aller boire un verre chez elle. Elle n’était pas contre. Sauf qu’elle était triste : il ne lui restait qu’une demi bouteille de whisky pour la soirée (c’est peut-être la seule russe du monde qui n’aime pas la vodka). Elle nous a menés au Monoprix et y a foncé droit dans le bon rayon : ça se voit que c’est une habituée. Malheureusement ou heureusement, ils ne vendaient plus d’alcool après 22h. Alors on a juste pris du soft : j’ai payé un coca à 1€68, c’est pas très cher pour un plan à trois !

J’étais assez surpris qu’elle nous ramène si facilement chez elle après le scandale qu’elle a fait la dernière fois pour ne pas venir chez moi directement. Enfin bon, j’lui ai un peu envoyé des messages toute la semaine pour lui dire que j’avais grave envie de la baiser (ce qui est vrai) : ça a dû l’exciter et sa logique a dû passer par la fenêtre. Arrivée dans sa fillonnière (garçonnière pour meuf) : ça se voyait qu’elle avait fait des efforts pour ranger, un peu comme moi quand une meuf vient. Mais il restait quand même des tas d’habits, des moutons de poussière et des capotes colombiennes usagées sous le lit. Mais ça je ne m’en suis aperçu qu’à la fin de la soirée.

C’est une fan de requins, cette meuf. Elle en a deux en peluche, qui ont la bouche ouverte et une langue qui dépasse, alors je m’amusais à les faire se rouler des galoches en la regardant comme un pervers. Bizarrement, elle ne voulait pas embrasser ses peluches. Elle mettait un peu distance entre elle et La Prof et moi. Elle s’est même mise à la fenêtre pour fumer tandis que j’étais sur le lit avec la prof. Elle s’asseyait sur le rebord pour pouvoir allonger ses pieds sur le lit, contre les miens. Elle a enchaîné 4 ou 5 whisky-coca, tandis que j’avais du mal à finir le mien (mais j’voulais être poli) et que La Prof était joyeuse après un seul. La russe restait de marbre après ses 5 verres, elle nous a expliqué en ingurgiter depuis qu’elle a 6 ans.

J’lui faisais du pied de loin mais elle faisait la timide. Elle répondait quand même à mes caresses par des caresses du gros orteil, comme quand on a fait le rencard à trois y’a deux semaines : on avait fait à trois le test de la caresse des mains… c’est pour ça que j’étais surpris qu’elle ne vienne pas baiser. Ce test est quasi-infaillible. Je caressais un peu la prof qui faisait sa chaude et me suggérait « déshabille-toi un peu, tu dois avoir chaud avec ton pull ». J’me suis alors mis en polo pour montrer l’exemple. On a mis la russe au défi d’arriver à ouvrir ma ceinture Efficience mais elle n’y est pas arrivé et elle est allée se remettre sur ce putain de rebord de fenêtre. J’suis parti du principe que c’était de l’appréhension et du stress qui la bloquait alors j’ai descendu la bretelle de la prof et j’ai regardé la russe « c’est quoi ça ?
– épaule. »

Après je suis remonté « le cou », « les lèvres »… Ca l’a intéressée car en même temps que je lui faisais un cours, je caressais la prof du bout des doigts. La russe s’est approchée, tentée, elle est enfin venue sur le lit : j’ai pris son index et l’ai mis dans la bouche de la prof « bouche ». Ca commençait à devenir sensuel.

J’ai enlevé la robe de La Prof. J’ai pris la main de la russe pour la glisser sur les seins de la prof. Elle aimait bien ça. On est descendus, lentement, en caressant et embrassant le ventre de la prof. J’ai montré à la russe où était le clitoris de la prof. Je lui ai montré comment la caresser circulairement. Après, j’ai pris son doigt et je lui ai appris à doigter : que faire à l’intérieur, où est le poing G, etc. C’était une bonne élève et une élève bonne.

Je doigtais la prof, elle la caressait, parfois l’inverse. Nos têtes se rapprochaient, fortes de cette complicité. On a commencé à s’embrasser. C’était vraiment agréable. Avec et sans la langue, tout en chauffant la prof.

Je me suis retiré brièvement du triumvirat pour faire pipi (pas évident avec la gaule) et quand je suis revenu, les deux filles s’embrassaient. Elles avaient l’air d’apprécier se manger la bouche.

Je me suis alors mis derrière la prof, la prenant en sandwich, et on s’embrassait tous, parfois même on faisait des bisous à trois. La pièce était pleine d’énergie sexuelle. On a tripoté la russe, ses seins et tout. On l’a mise en sous vêtements, elle aussi. J’étais le dernier habillé à ce moment-là alors elle m’a demandé d’aller fermer les rideaux.

Je sais plus comment ni pourquoi mais après m’être mis en boxer, je me suis allongé sur le lit et la russe est venue sur moi. Ma main a naturellement glissé dans son string. Avec la prof on s’est mis à la caresser, doigter. Elle est montée très fort. Ca a duré un bon moment.

Après ça, elle était à l’ouest et nous a dit « j’ai presque joui ». Pour la première fois de sa vie. Je lui ai demandé si elle était déjà montée aussi haut dans sa vie « une seule fois peut-être ».

Elle s’est allongée pour s’en remettre tandis que je dégrafais le soutien-gorge de la prof qui déshabillait entièrement la russe pour se positionner entre ses cuisses. Elle a commencé à lécher la russe qui était allongée sur le dos. Comme la prof était relevée en position de levrette, je la doigtais, caressais. Elle a joui un coup. La russe n’y arrivait pas par contre, alors elle m’a appelé à la rescousse : elle avait mal aux doigts. On a fait coopération : je doigtais et elle léchait. La ruskov montait très haut mais n’arrivait pas à se lâcher. C’étaient les montagnes russes.

Elle nous a imploré d’arrêter. Donc on a fait une pause. Puis on a repris, et elle a pris son pied de ouf, elle nous a insultés en russe et tout. Qu’elle perde son français et ne puisse plus parler qu’en russe, c’était franchement bon signe. Le truc c’est qu’elle serrait les cuisses, faisait des mouvements de bassin et tout et donc elle reculait vers le bord du lit, elle a même fini en extension sur les bras avec la tête dans le vide. Pas évident de jouir en ayant tous les muscles contractés comme ça mais on ne la lâchait pas.

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La prof l’invitait à se relaxer, lui disait de tout laisser partir, de s’abandonner : elle faisait de l’accompagnement à l’orgasme. Je ne sais pas si la russe a fini par jouir vraiment mais elle nous a dit n’être jamais montée aussi haut de toute sa vie. Elles sont ensuite venues autour de moi, s’embrassant, m’embrasant, me branlant. On a fait les poupées russes. Puis, la prof a pris la tête de la russe et l’a mise sur ma bite en lui disant « tu veux le sucer ? »

Elle m’a pompé super bien et j’avoue que j’étais vraiment très excité par la situation. Le tsar, c’était moi à ce moment-là. J’ai dû venir en dix minutes. Je lui disais « je vais jouir dans ta bouche si tu continues
– oui oui »
. J’avais donc son autorisation et elle a tout avalé. Après ça, la prof a un peu fait la gueule car d’habitude quand elle me suce… je tiens super longtemps. Elle était un peu vexée quoi. Mais franchement c’était le contexte qui m’a mis dans cet état-là et les deux ont contribué à mon excitation. Si ça se trouve, une chèvre aurait pu me sucer que j’aurais joui quand même.

Après ça, on a fait un câlin tous les trois. La russe était KO. Puis, tout d’un coup, la prof a voulu rentrer chez elle, un peu comme la dernière fois lors du plan à trois avec l’agent immo. Elle m’a dit « reste un peu si tu veux, moi je vais marcher, un peu d’air frais va me faire du bien ». D’un côté, je culpabilisais de la laisser partir toute seule, d’un autre côté c’était un peu un caprice et, du troisième côté (si y’en a un), j’avais trop envie de me faire la russe. Je rebandais d’ailleurs déjà. J’avoue que j’ai été un peu égoïste sur ce coup-là et que j’ai pensé avec ma queue puisque je suis resté.

La russe a accompagné la prof jusqu’à la porte puis est revenue vers moi, m’a galoché, est montée sur moi et s’est frottée. Puis, elle s’est enfoncée sur moi sans rien dire. J’admirais sa sirène tatouée sur la cuisse pendant les va-et-vient, c’était bien sexy. Elle avait un tout petit bidou dû à l’excès d’alcool je pense, mais tout était super ferme donc c’était sympa. Et puis, faut dire, qu’elle m’avait bien fait fantasmer.

On a baisé un peu comme ça, et j’sais pas trop si j’ai éjaculé sans plaisir ou si j’ai débandé mais j’suis redevenu mou et impossible de redurcir. J’étais sûrement stressé par le départ précipité de la prof. Et puis y’avait la fatigue, c’était presque 4h du matin après une dure semaine de labeur.

La prof m’a textoté avoir oublié son collier chez la russe… donc on l’a cherché et c’est là que j’ai pu voir le bordel sous le lit dont je vous ai parlé au début du texte. J’ai soulevé la couette pour chercher dessous : y’avait des vêtements et sous-vêtements en boule et tout. Ca m’a fait sourire ce bordel. Ca m’a rappelé quelqu’un !

J’ai un peu discuté avec la russe, aussi. Elle m’a dit que ce plan à trois avec une fille était une des meilleures choses qu’elle a faites dans sa vie. Elle a maintenant peur d’aimer plus les filles que les hommes ! J’ai demandé à tout hasard si elle prenait la pilule ou pas pour ne pas avoir d’enfants. Elle m’a traité de fou d’avoir éjaculé en elle. Je l’ai laissée croire que c’était le cas même si je n’en suis pas sûr. J’veux bien que ça m’ait excité de ouf, le fait qu’elle m’ait fait attendre 3 semaines et que j’ai grave fantasmé sur elle, mais bon. De là à tenir 5 minutes quand d’habitude je tiens la demi-heure minimum…

Enfin bref, j’l’ai convaincue de prendre la pilule du lendemain après lui avoir expliqué ce que c’est. Je ne voulais pas avoir d’enfants à aller voir en Russie. Elle l’a fait mais était persuadée que ce serait mauvais pour sa santé. Elle a dit ne plus jamais vouloir me revoir après ça. Bref, je lui ai dit que je garderai un bon souvenir d’elle quand même. C’était partagé. J’l’ai prise dans les bras pour lui dire au revoir. Et adieu.

Moi je flippe maintenant d’avoir une MST russe (j’ai joué à la roulette russe là) : j’ai la bite en feu et elle a grave une réputation de chaudasse dans sa fac, d’après mon pote qui m’avait parlé d’elle.

Après ça j’ai rapporté son bijou à la prof que j’ai trouvée en pleine crise d’angoisse, de nerfs. Je lui ai filé un Lexomil. Mais avant qu’elle se calme, j’ai eu droit à toutes les insultes du monde et j’ai même dû lui avouer que j’ai pris la russe sans capote. Elle ne veut donc plus qu’on baise ensemble sans capote avant que j’ai fait un test… c’est-à-dire dans un mois. Ca va être long mais je la comprends.

Le lendemain, elle voulait absolument que je la baise et rebaise. Jusqu’à 17h. J’ai raté la piscine, et je suis rentré chez moi, fracassé sans avoir mangé. A 21h, on a commencé le séminaire « les rois du field » avec presque tous les gars du lair (environ 12 personnes).

Ca a duré jusqu’à 5h du matin. Tout tournait, j’ai eu des vertiges et tout mais j’ai tenu bon. J’avais de l’énergie, puisée dans le plan à trois. Autant d’énergie féminine pour un seul homme, ça nourrit.

Le truc c’est que j’ai pas pu faire les courses ni le ménage avec tout ça. Hier je suis donc allé manger au resto à midi avec la prof et on a baisé l’aprèm : elle m’a fait un lac de cyprine devant Ghost, m’a sucé dans mon ascenseur et on a baisé en missionnaire car elle voulait « que je lui fasse l’amour » pour une fois. En la regardant dans les yeux et tout.

La prof m’a dit qu’elle prenait des gus « pigeon » d’habitude car elle avait peur de s’attacher. Mais que là elle est tombée sur un vrai mâle (même si j’ai les défauts qui vont avec), pas un soumis, et que ça lui plaît autant que ça la terrifie. Ca m’a fait grave plaisir, cette analyse !

Là je suis au taf : j’ai peu dormi, pas mangé (j’ai plus rien dans mon frigo) et j’me suis levé dans le bordel complet… mais au moins suis-je officiellement décoré de la légion d’honneur de la baise à trois internationale.

Doux baisers de Russie… Signé : James Bande.

Que le Dieu du Game soit avec vous !

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2 commentaires sur “Bons baisers de Russie”

  1. Salut comment ferait tu pour aborder une fille dans le métro, dans une banque, dans une queue ou encore dans son lieu de travail. J’aimerai passé sous les radars car la pression sociale est immense dans un tel contexte la fille risquerait d’être mal à l’aise.

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