Vidéo gratuite "Les 3 secrets pour réussir avec les femmes"
Aller au contenu
Accueil » Blog » Bonne scène de drague dans Girls

Bonne scène de drague dans Girls

Bonne scène de drague dans GirlsAnalyse d’une scène de séduction dans Girls

Girls est une série américaine qui raconte la vie à New York d’un groupe d’amies ayant la vingtaine. Leur principale perspective est la crise économique et morale du monde occidental. Elles sont lâchées dans une époque à la fois dure et libre (la sexualité, l’amitié, l’impossibilité de réussir sa vie). On suit leurs galères sentimentales, sexuelles, professionnelles et familiales. C’est un peu comme Sex & The City mais en plus jeune. Le pilote de Girls y fait même directement référence, c’est dire !

C’est typiquement une « série de meufs ». Le genre que j’regarde parfois (quand c’est pas trop gnan-gnan) pour mieux comprendre les nanas.

Les 4 personnages principaux sont (une équipe d’actrices méconnues mais crédibles :
– Hannah Horvath, une jeune écrivaine stagiaire ayant la vingtaine et vivant à Greenpoint, Brooklyn, à qui les parents ont coupé les vivres. Elles est un peu mal dans sa peau.
– Marnie Michaels, la colocataire et meilleure amie d’Hannah. Elle est sérieuse et responsable. Pour ne pas dire coincée mais sexy, garce et ambitieuse.
– Jessa Johansson, cousine anglaise de Shoshanna et colocataire. Bohème et imprévisible aventurière. Elle est un peu baba cool, hippie et ancienne droguée.
– Shoshanna Shapiro, naïve et pétillante cousine de Jessa.

Personnellement, je kiffe Marnie et Jessa. C’est ça mon genre de meufs. Shoshanna est bien foutu mais ses yeux sont bizarres, ils me mettent mal à l’aise. Et Hannah est bien trop mal foutue : même si elle est sympathique, ça ne compense pas.

Au niveau des mecs, y’en a deux que j’aime bien :
– Adam Sackler, qui a une relation avec Hannah. Il est acteur et complètement déjanté.
– Booth Jonathan, un espèce d’artiste obsédé sexuel et imbu de lui-même.

Girls a un côté cru, tant dans le ton que dans l’esthétisme. Oubliez les scènes de cul qui vous donnent l’impression que les acteurs ont la peau lisse comme du latex : les bourrelets ne sont pas gommés, les dialogues semblent sortir tout droit de vos souvenirs les plus gênants, l’ambiance sonore est respectée ; bref, de ce côté-là, on est plutôt dans le réalisme que dans le glamour. Au niveau des thème abordés, c’est assez réaliste aussi (et ça permet d’avoir le point de vue des meufs sur ces sujets) : le plan-cul-pas-tout-à-fait-plan-cul qui te traite comme un sex-toy un peu chiant, les problèmes de compatibilité sexuelle, les choix de vie contestés par les proches, la recherche de boulot, l’avortement, ou encore la virginité « tardive »…

Le truc le moins réaliste pour moi dans cette série c’est que la grosse exhibitionniste et bien trop bavarde Hannah se tape des beaux gosses. Des mecs grands, bien foutus, etc.

La première saison est assez rafraîchissante et drôle (après j’ai moins aimé). J’ai réussi à m’identifier à plusieurs situations, c’était marrant. Et je kiffe quand le personnage principal est écrivain.

OCCASION !
Abonnez-vous à la newsletter

Recevez une formation gratuitement !

Adresse e-mail non valide
Essayez. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment.

Il faut dire qu’il n’y a pas beaucoup de séries américaines qui s’attaquent à ma tranche d’âge (26 ans), elles préfèrent mettre en scène des ados ou de jeunes trentenaires. Là , les actrices en ont fini avec la fac, et, comme beaucoup de leurs semblables, sont entre deux eaux, célibataires mais pas vraiment, en recherche d’un emploi stable, fraîchement abandonnées – financièrement – par papa et maman… une jeunesse qui « essaye de devenir ce qu’elle est », frappée de plein fouet par la crise mais encore capable de rêver.

Je vous laisse maintenant avec une scène très alpha tirée de l’épisode 3 de la saison 1 dans laquelle on peut vraiment humer la tension sexuelle. Le mec (Booth Jonathan) a un bon body language, fait du rentre-dedans comme j’aime avec une confiance incroyable (bon lui ça lui vient d’être un artiste mais on s’en fout). Il me rappelle Chuck Bass : il est très sexuel et gère bien la tension sexuelle.

D’ailleurs, Marnie est tellement excitée après sa rencontre avec Booth qu’elle courre dans les toilettes de la soirée et se touche.

Ca me fait penser aux nanas à qui ont fait du rentre dedans dans les bars et qui se retiennent « pour le principe » : si ça se trouve certaines rentrent chez elles et se touchent en repensant à la soirée. Ce qui est dommage c’est qu’on aurait pu le leur faire pour de vrai.

https://youtu.be/54e-GSeMnd4

Si vous décidez de regarder la saison 1, sachez que je kiffe Adam aussi. Il est tellement de non-chalant que je me reconnais un peu en lui. Mais il est carrément plus déglingué et plus zarb que moi quand même. Il ne s’agit pas de dire que c’est un PUA ni quoi que ce soit de cet ordre, mais il est quand même excitant pour les femmes grâce à son côté je m’en foutiste, obsédé et décomplexé de la vie. Avec lui, on n’est jamais au cœur de l’inaction.

Franchement, on pourrait faire une série dans ce genre en France, ça serait cool. Je veux bien écrire le scénario.

À ne pas rater !
Abonnez-vous à la newsletter
Recevez ce guide, des conseils par email et plus encore !
Adresse e-mail non valide
Essayez. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *