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Les différents fields de drague reviennent-ils tous au même finalement ?

Les différents fields de drague reviennent-ils tous au même finalement

Ayant déjà FC sur tous les terrains (rue/Internet/boîte/bar/cercle social), je souhaite aujourd’hui que nous réfléchissions sur les différences entre ces derniers.

 

Les filles y sont-elles les mêmes ?

Il est évident que l’on peut draguer une fille sur Internet et la recroiser dans la rue ou dans un bar un autre jour. Ou la draguer dans un bar puis s’apercevoir qu’elle est sur Adopte. Ou la draguer dans la rue, prendre son Facebook et s’apercevoir que l’on a des amis en communs. D’ailleurs, si on prend son Facebook en une minute dans la rue et qu’on lui parle sur le t’chat pendant une semaine avant de la niquer… est-ce que c’était vraiment un FC issu de la rue ? Oui et non.

Il n’y a pas de « filles virtuelles », de « filles de la rue », etc. Il y a des filles. Point final. Ce que je veux dire c’est que ce sont des personnes à part entière. Certains les ont draguées au lycée, d’autres dans la rue, d’autres en boîte, d’autres sur Internet mais c’est toujours elles.

Par contre, le profil moyen des targets diffère selon les terrains. Dans les bars, on aura plutôt tendance à trouver des buveuses d’alcool et des fumeuses. Tandis que dans un milieu sportif (par exemple si on drague à la piscine) elles auront moins tendance à boire et fumer. Sur Internet, il y a de tout ; il y a celles qui sont fêtardes et celles qui n’aiment pas trop sortir (dans ce cas-là où aurait-on pu les rencontrer sinon ?) Dans la rue aussi il y a de tout, y compris celles qui n’aiment ni les applis de rencontre ni les boîtes. Seulement, elles ne sont pas dans le même état d’esprit, elles ne sont pas « triées », elles ne sont pas forcément ouvertes aux rencontres. La drague de rue, finalement, c’est aussi hasardeux que d’envoyer des pokes sur Facebook !!!

Mais, encore une fois, il n’y a rien d’absolu là-dedans. Il y a des filles saines de corps et d’esprit qui sortent en boîte. Il y a des nymphomanes qui nagent en ce moment-même dans une piscine et qui coucheront dès qu’un gus les abordera (si elles ont le temps). Il y a des filles timides et sans expérience partout aussi. Il y en a quelque part qui ne demandent pas mieux que votre bite aussi…

Pour moi, le seul truc dangereux avec la drague sur Internet, c’est de s’y cantonner. C’est-à-dire de ne plus sortir draguer et donc de perdre contact avec le terrain. C’est facile de se prendre pour un Dieu si on ne se prend plus de râteaux dans la face (avec le virtuel on ne ressent pas trop les meufs qui nous ignorent… elles se contentent de ne pas répondre.)

 

Un numéro pris est un numéro pris

Une fois qu’on a pris le numéro de la fille, que ce soit en street, en night ou en online, on passe à l’étape du phone game. C’est donc là que les différents fields se rejoignent. A l’exception de la drague online où on n’a pas forcément vu la fille en vrai avant. Et y’a aussi une différence entre la street et la night : c’est que parfois en night on a déjà embrassé la meuf avant de prendre son numéro. Ceci dit on dit qu’on ne l’a pas vu avant en online mais si on l’a vue dans une boîte avec l’éclairage et tout c’est pas pour ça qu’on sait comment elle va être avec la lumière du jour… c’est pas franchement mieux.

Mais est-ce vraiment si important de l’avoir déjà vue avant ou de l’avoir déjà embrassée ? Si elle est jolie et embrasse bien, je veux dire. C’est pour ça qu’en online, il est important d’être sûr de son coup à 99% qu’elle soit bien bonnasse, la meuf. Et aussi tester son rapport avec le sexe. Sachez que l’on peut aussi faire des kiss rapides en street. Mais c’est assez rare et ça dépend beaucoup du contexte (ça marche surtout dans les stations de vacances ou alors il faut beaucoup de chance pour tomber sur une nana open à ça dans la vie de tous les jours).

Après le phone game, vient logiquement l’étape du date. Alors là, elle est vraiment identique, peut importe sur quel field on a pris le numéro avant. Enfin, vient l’étape de l’isolation, les last minute resistances, et la sacro-sainte baise en levrette avec fessée.

Les différents fields se rejoignent donc à 100% au niveau du date et à 150% quand vous avez votre bite dans sa chatte.

Ainsi, un mec qui prend beaucoup de numéros dans la rue mais qui foire tous ses dates derrière aura intérêt à faire de l’online pour s’entraîner à réussir ses premiers rendez-vous. Ou à faire de l’online pour travailler son phone game aussi. Il y acquerra rapidement de l’expérience qu’il pourra réutiliser sur tous les fields.

 

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Et les instant dates dans tout ça ?

Parfois, on drague dans la rue et on va boire un verre tout de suite avec la fille. Mais là encore, on rejoint l’étape du date. Ca colle donc avec ma théorie que tous les fields se rejoignent à ce niveau-là.

Le seul truc qui ne colle peut-être pas, c’est que parfois, en night on passe directement du kiss en soirée au sexe chez elle ou chez vous en fin de soirée. Mais bon, en théorie c’est possible aussi avec du street et ça m’est déjà arrivé en online que la meuf vienne direct chez moi pour m’embrasser, se mette à genoux et me suce sans qu’on ait vraiment discuté IRL avant. Mais bon, j’avais mis pas mal de comfort et je l’avais excitée avec ma plume avant aussi faut le dire. Tout ça pour dire qu’il y a des filles qui ont faim de sexe sur tous les fields. Votre travail est de les mettre assez à l’aise pour qu’elles assument.

Ceci dit, pour pouvoir en profiter, encore faut-il avoir vaincu son anxiété sexuelle et savoir déjouer les éventuels blocages qui surviennent souvent au dernier moment.

La street est peut-être le field le plus prestigieux parce qu’il faut des grosses couilles pour aborder pendant la journée et parce que c’est un peu old school. Je connais des gars qui font les beaux car ils sont à l’aise dans leur cercle social, qui peuvent un peu aborder la nuit car tout le monde le fait mais qui sont paralysés pendant la journée. Donc ça c’est pas bien !

L’online est peut-être le plus critiqué parce que soi-disant ce serait plus facile et tout. Mais en fait non, j’ai des padawans qui n’arrivent à rien de chez rien online mais qui se débrouille en night. En fait, la vraie raison, c’est peut-être que les gens ont peur de devoir dire qu’ils ont rencontré leur meuf sur Internet. Mais bon, un PUA ne doit-il pas ASSUMER ? N’est-ce pas là un des maîtres-mots du game ?

 

Chacun son field ?

Mon conseil est de vous faire votre expérience. Peu importe sur quel field ça marche le mieux pour vous, entraînez-vous à fond dessus. Votre confiance sexuelle pourra vous resservir sur les autres terrains ! Et puis, ça vous fera du bien au moral d’avoir des résultats.

Si c’est en online que ça fonctionne le mieux pour vous, et bien tant mieux ! Je connais des gars qui n’arrivaient à rien. Je leur ai enseigné comment fonctionne le online et puis ils ont enchaîné une dizaine de meufs en quelques mois. Mais maintenant, ils crachent sur le online comme quoi c’est trop facile et tout. Ils veulent faire du street et de la night à tout prix ! C’est noble mais pourquoi dénigrer ce qui leur a convenu jusqu’à présent ? Pourquoi est-ce que tout cela serait incompatible ?

Ceux qui critiquent des choses comme ça, pour se la péter pour rejeter leur mentor ou se donner bonne conscience ne font selon moi que montrer qu’ils sont complexés et/ou jaloux. Chacun ses objectifs, chacun ses moyens, c’est tout. Je parierais que j’ai des lecteurs qui s’en foutent du côté « art » du game pour le et qui veulent juste niquer. Alors pourquoi est-ce que je les priverais de Tinder ? Ou des soirées médecine ? Sous prétexte que certains pensent que c’est plus facile qu’ailleurs. Et alors ? C’est comme les meufs qui ont envie de coucher mais qui font chier pour le principe… pourquoi s’emmerder (et emmerder les autres) volontairement comme ça ? Ce n’est pas pragmatique.

Je pense sincèrement que certains fields correspondent mieux à certaines personnes (par exemple les fumeurs alcooliques et la night). Mais il est important de continuer à pratiquer un peu sur les autres terrains, histoire de ne pas perdre contact avec le fait que le game n’est pas un truc répétitif et chiant à mourir.

Mais, grosso-modo, ce sont les mêmes choses à comprendre. Les mêmes mécanismes qui sont derrière les interactions hommes/femmes. Après, chaque personnalité est différente et est une nouvelle aventure, une nouvelle terre à explorer, avec ses difficultés et ses facilités. Parfois ça va tout seul, parfois tout fait chier.

Je ne pense pas qu’il y ait objectivement de field plus facile que les autres. Chacun a quelques particularités mais la finalité est la même : kiffer la vie et vendre du rêve aux meufs.

C’est comme si tu jouais à Pokémon… rouge, bleu ou jaune : à la fin tu attrapes quand même Mewtwo (parfois avec un Superball parfois avec une Masterball) !

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