Vidéo gratuite "Les 3 secrets pour réussir avec les femmes"
Aller au contenu
Accueil » Blog » Je viens de résoudre le grand mystère des relations hommes/femmes

Je viens de résoudre le grand mystère des relations hommes/femmes

Je viens de résoudre le grand mystère des relations hommes/femmesPourquoi les hommes et les femmes ne se comprennent pas et ne sont pas en phase ?

Le 4 juillet 2013,

J’crois que je viens de résoudre le grand mystère des relations hommes/femmes. Selon moi, il s’agit d’une boucle cybernétique de frustration (le serpent se mord la queue). Bon j’avoue que, présenté ainsi, ça donne pas trop envie. Alors je vais plutôt vous raconter ce qui s’est passé hier soir et vous allez tout comprendre, faites-moi confiance.

18 heures, sortie du taf, j’étais complètement explosé parce que j’avais 35°C de fièvre : ce qui m’arrive lorsque mon ordi, mon portable, le sport, les sorties et mon chat m’empêchent de dormir plusieurs jours d’affilée (c’est pas des blagues, ça fait au moins deux semaines que j’accumule du sommeil en retard). Bref, j’me suis couché direct et j’ai dormi pendant quatre heures, ratant ainsi le coup de téléphone de la P’tite de Toulon avec qui je couche de temps en temps. Elle appelait pour me dire qu’elle était en vadrouille improvisée à Aix et voulait me voir. J’ai répondu en me réveillant vers 22h, ce qui me permit d’apprendre qu’elle était en pleurs et perdue quelque part près de la fac de droit. Un vrai drame, d’autant que j’aime beaucoup cette fille. Je suis donc allé la chercher et elle me raconta ses malheurs.

« Tu ne répondais pas alors je suis allé voir une copine et on a fait une petite soirée improvisée où il y avait ce mec qui me drague depuis 9 mois. J’ai fini par céder et coucher avec dans une chambre puis il a appelé ses potes en clamant fièrement comme un roi sur son trône qu’il avait enfin réussi à me troncher. Morte de honte, je me suis enfuie. Baisée comme une chienne et jetée comme une merde par un gus qui galère depuis des lustres… vous vous en foutez, vous, d’attendre comme ça et de faire des compliments à tire-larigot, parce qu’une fois que vous avez tiré votre coup, ça y est vous avez gagné. » On ne peut pas lui donner tort, effectivement, lorsqu’on parvient à pénétrer l’antre sacrée d’une fille : cela revient à gagner le match comme s’il y avait 0-130 et qu’on attrapait le Vif d’or. Bref, c’est parce qu’il y a des mecs comme lui que les mecs comme moi sont constamment obligés de se justifier auprès des femmes et doivent déjouer tout un tas de pièges. Perso, malgré les apparences, la discrétion est mon fort : en changeant des détails des histoires et les noms des filles, il devient quasi-impossible aux gens de savoir de qui je parle. C’est vrai quoi, je suis pas un taré en manque, juste un expérimentateur, un savant un peu fou qui étudie les relations hommes/femmes…

Donc voilà, je l’ai ramenée chez moi parce qu’elle avait faim. Première concession : j’lui ai fait à grailler alors que je ne mange normalement pas le soir. Deuxième concession : j’ai subi ses doléances pas vraiment originales « les mecs sont tous des connards et je ne coucherai plus jamais (sachant qu’elle est en couple avec un MEC SUPER GENTIL (et cocu) en plus) ». Parce que j’étais trop gentil pour lui dire « ta gueule », je perdais petit à petit le peu d’attirance qu’elle pouvait ressentir pour moi (trop bonne, trop con). Que ça me serve de leçon. A partir de là, je savais que je pouvais faire une croix sur la partie de jambes en l’air (qui nous aurait pourtant fait du bien à tous les deux, après deux orgasmes ou trois, je parie qu’on aurait vu la vie en rose). Du coup, autant rentabiliser le truc : j’me suis offert une séance de psy gratuite. J’ai, à mon tour, vidé mon sac (c’est vrai que ça fait du bien).

« Tu vois ma poule, quand j’étais plus jeune, je n’intéressais pas vraiment les filles parce que j’étais trop gentil :
– J’me souviens, au début de mes années lycée, il y avait cette nana dont j’ai longtemps pensé qu’elle serait la femme de ma vie et la mère de mes enfants. Elle m’a endurci et changé. Grande brune aux yeux verts, elle me plaisait beaucoup physiquement mais c’est surtout au niveau des personnalités que ça collait. On a eu un premier rancard un peu naze enfin disons que j’ai commis toutes les erreurs possibles notamment lui parler d’une autre fille qui me plaisait. J’ai dû attendre une éternité après ça pour qu’elle vienne chez moi et lorsque je commençais à lui faire timidement l’amour sur mon lit, mes parents sont rentrés et on s’est interrompus. Elle s’est ensuite mise en couple et j’ai attendu une plombe pour goûter à nouveau ses lèvres. Après, on sortait ensemble à des soirées et tout puis elle m’a (logiquement) invité à dormir chez elle. Dans le lit, je me suis lancé pour l’embrasser et elle a foutu son nounours entre nous puis m’a nonchalamment tourné le dos toute la nuit. J’aurais peut-être dû insister et utiliser la force mais j’avais trop de respect pour elle. Sur le coup, j’ai pensé que je devais apprendre à donner envie de moi à des filles alors que j’aurais en fait dû apprendre à avoir vraiment envie d’en baiser une seule : ELLE. Plus récemment, après avoir lu mon blog, elle m’a achevé « on a plus rien en commun, on ne se comprend plus, tu finiras dans une émission de téléréalité alors je ne veux plus te voir ». Dur ! Surtout si on réalise que c’est elle qui, avec la complicité de deux ou trois autres poulettes, a fait de moi ce que je suis aujourd’hui (à savoir un cœur brisé qui tente de se reconstruire et noie quotidiennement son chagrin dans la cyprine).
– Cette histoire m’en rappelle une autre, avec une blonde cette fois-ci (tant que j’y suis, je vais au fond des choses). Elle me racontait comment son ex la battait et tout et qu’elle était malheureuse avec lui tandis que moi j’étais adorable. Mais dès que ça devenait concrètement chaud entre nous comme la fois où en rentrant de soirée je l’ai sauvagement déshabillée, elle m’arrêtait. Cette comédie a duré près de trois mois avant que je n’y mette fin en coupant tout contact pour me protéger. J’étais déjà assez amoché comme ça, plus ça aurait duré, plus j’aurais eu de séquelles !!! Bref, avant j’étais romantique mais comment le rester dans un monde ingrat ? Sérieux, les croqueuses de pommes, venez pas vous plaindre après… c’est pas pour rien qu’à la fin de The Game, Mystery finit en hôpital psychiatrique.
– Une dernière histoire, plus récente, mais qui illustre bien le phénomène dont je parle. J’avais décidé de faire galérer cette nana BCBG pendant 10 RDV avant de lui faire l’amour. Résultat : je ne suis même pas arrivé au huitième rancard. Commentaire de ma pote de Toulon : « les meufs qui se la pètent comme ça c’est les plus cochonnes, elles aiment être dominées au lit et souillées. Si une fille te dit : moi j’suis trop belle je plais à tout le monde et je peux avoir qui je veux, elle ment, personne n’est comme ça, on a constamment besoin de se prouver que l’on peut plaire ». Sans tomber dans les extrêmes, la conclusion c’est que les meufs se plaignent que les mecs sont tous des connards sauf que ce sont elles qui nous poussent à être comme ça, et que ceux qui ne sont pas étiquetés comme tels ne les intéressent pas à moins d’être beaux, célèbres ou riches. Alors cette hypocrisie de merde, ces jérémiades et ce cinéma me font doucement ricaner. Comme le dit si bien un grand poète contemporain (Booba) « La vie c’est dur c’est pour ça qu’on pleure tous à la naissance ».

Revenons à nos moutons, et quand je dis « mouton » je parle de ma pote de Toulon. Elle refusait que je l’embrasse « don’t fucking kiss me, j’ai pas envie qu’on me touche » alors je lui ai dit « écoute ma petite, tu vas dormir sur le canapé parce que bonne comme tu es si tu te mets dans mon lit je vais bander toute la nuit et je ne pourrai pas pioncer.
– Tu sais que tu es mignon.
– J’en ai rien à foutre que tu me trouves mignon ou pas si je peux pas te niquer ça me sert à rien. » Elle commençait à s’y installer à contrecœur tandis que je me mettais en caleçon sur mon plumard. Puis, je l’ai appelée parce que fallait tout de même que je me passe les nerfs sur quelqu’une. « Viens voir j’ai un truc à te dire.
– Ouais j’arrive.
– Bon, ce que je vais te dire, c’est pas dans l’espoir de me vider les couilles ni de t’attendrir par pitié ou quoi. Cependant je veux que tu réalises ce que tu es en train de faire. Un mec t’a baisée et t’a jetée à la rue… et pour cette raison tu punis le gars gentil qui t’accueille chez lui. En plus, tu sais très bien que je vais moi-même répercuter ma haine sur la prochaine, qui elle-même ira pleurer dans le gilet d’un autre et ainsi de suite. C’est un sacré cercle vicieux dont les hommes et les femmes ne peuvent se sortir, nous menant ainsi à une guerre froide sans merci. Bonjour l’effet papillon. Cela dit, si au lieu d’aller faire ta connerie avec l’autre tu étais directement venue chez moi, on passerait tous les deux un bon moment. Bref, va te coucher maintenant et réfléchis à ce que je viens de te dire.
– Mais j’ai pas envie de baiser putain limite ça me dégoûte rien que d’y penser, je vais pas me forcer quand même. En plus si t’avais répondu direct je serais venue direct.
– Ouais moi aussi ça me dégoûte d’être le premier maillon de la chaîne alimentaire et non tu vas pas te forcer, j’ai pas envie de niquer une plante verte.
– J’ai un compromis à te proposer, je dors avec toi ce soir et si demain je suis encore là on fait un truc.
– Ouais voilà faisons comme ça allez bonne nuit même si ça s’appelle de la manipulation et non un compromis. En effet, je vois pas pourquoi les choses seraient différentes demain…
– Parce qu’on pardonne tout quand on est amoureuse.
– Amoureuse de qui ?
– D’un mec qui vient de me baiser comme une merde, s’en vanter auprès de ses potes et me jeter à la rue.
– Alors je suis en quelques sortes une roue de secours ?
– Non t’es le seul mec avec qui je me sens bien, on va partir en vacances ensemble dans les îles et je viendrai à ton mariage, ça va me faire drôle d’ailleurs (NB : j’ai de gros doutes sur le fait qu’on se fréquente encore dans quelques années… c’est pas pour être méchant ou quoi mais la vie est sans pitié et puis si elle me refait ne serait-ce qu’un coup comme ça, ce sera fini à jamais. Je serai intransigeant).
– Pauvre meuf… ça va que t’es jeune ! Je suis sûr que s’il te siffle demain, tu fonces tête bais(s)ée! Aller bonne nuit ! » Enfin voilà, elle a dormi dans mes bras et ce matin je suis parti au taf. Je l’ai un peu faite chier en la tripotant, pas dans l’espoir de lui faire l’amour non mais parce que mon instinct animal a pris le dessus (quand une jolie blonde est à moitié nue près de moi, j’ai des pulsions, même si je sais que ça ne mènera pas à une pénétration, c’est quand même agréable de tripoter ses jolis petits seins). J’aurais sûrement dû la dégager dès qu’elle a commencé à me raconter sa vie de merde et s’apitoyer sur son sort mais on a une relation que je trouve saine : on est amis et on assume notre attirance physique sans se prendre la tête et sans jalousie. Bon, j’crois que ma bonté me perdra surtout si je commence à faire des exceptions et à accepter de payer pour les autres hommes. On n’est pas obligés d’accepter d’être le con d’un autre alors on est constamment tiraillés entre « bien et mal » comme le dit Orelsan. C’est donc la première et la dernière fois que j’accepte de réconforter une fille qui me plait : les gentils garçons se font marcher dessus même s’ils sont avertis, c’est chaud. Enfin c’est pas comme si c’était une meuf avec qui j’avais jamais rien fait… mais c’est ultra-frustrant quand même. Ca peut certes paraître égoïste (question de point de vue) sauf que si vous vous mettez trois secondes à ma place, vous verrez que c’est injuste.

C’est ainsi que tourne le monde, c’est un peu triste mais bon. On dit que le bonheur des uns fait le malheur des autres et c’est bien vrai, sauf que réciproquement c’est vrai aussi… mais la vraie morale de cette putain d’histoire c’est que les femmes ne respectent que les hommes forts (même si elles se plaignent pour la forme) et ne donnent leur affection qu’à ces derniers. Or, quand t’as un moment de faiblesse, même si c’est là que tu aurais le plus besoin d’un câlin, tu peux toujours courir… C’est donc logiquement que c’est le sperme d’un autre qui se dégrade en ce moment même au fond du vagin de ma pote, bien au chaud sous ma couette. Ca va que je m’en fous, mais je suis convaincu que c’est à cause d’histoires de ce genre que des hommes se retrouvent à élever des gosses qui ne sont pas d’eux.

OCCASION !
Abonnez-vous à la newsletter

Recevez une formation gratuitement !

Adresse e-mail non valide
Essayez. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment.

Ca ne me fait même plus rien ce genre de trucs de merdes, ch’uis blindé parce que je subis en ce moment une période de baisse de Mo-Djo assez violente. En effet, depuis la fête de la musique, j’accumule les fails. Rétrospective :
– 1) le lundi suivant, après une session de SPU intense, j’ai  naïvement ramené deux meufs chez moi… j’avais pas capté qu’elles étaient pleines d’exta alors j’avais pas vu venir le fait qu’elles allaient dégueuler dans mon salon. J’l’ai ai mises dehors sans les baiser et j’ai gagné une heure de ménage.
– 2) Une meuf m’avait chauffé puis invité sur FB à venir la déglinguer chez elle. En vrai, elle m’a filé une fausse adresse en espérant que je m’y pointe. Quand j’ai capté la feinte, elle m’a bloqué sur FB. Qu’est-ce que ça lui a rapporté de faire ça ? Rien à part remettre à sa place un gus aux airs un peu trop confiant. Perso, j’ai seulement perdu 30 minutes de ma vie, y’a pire. Ca m’a rappelé le coup que m’avait fait la fille des glaçons en début d’année : ma main à couper que c’était un peu le même genre de traquenard, d’ailleurs elle continue à jouer avec moi (croyant que je suis dupe) en se tapant à côté de pauvres mecs qui l’embobinent… mais je m’en branle : c’est sa foufoune donc sa vie. D’ailleurs je m’amuse à lui proposer régulièrement de venir jouir chez moi, parce que c’est hilarant de lui mettre la pression et de voir quelle excuse elle va encore inventer pour refuser tout en me laissant espérer. Quand j’ai raconté ça à ma pote de Toulon, elle a tout bonnement explosé de rire et m’a dit « je l’ai déjà fait. C’est marrant de remettre des types à leur place comme ça. De les faire bader. Pour nous, baiser est trop facile, ça nous intéresse pas de cette manière… à la limite faire l’amour oui. » Quel concentré de conneries. Je n’y vois que des nanas mal dans leur peau qui n’ont que ça à faire, du temps à perdre/à faire perdre et qui ont des choses à se prouver. Si j’me laissais aller, elles pourraient même me faire de la peine.
– 3) Ce WE en soirée, j’ai également été naze : j’ai kiss qu’une seule meuf en faisant 2h de crash&burn. On pourrait croire que je joue de malchance mais c’est en fait parce que je n’y crois plus. Sinon, l’autre soir, j’ai lâchement envoyé « t’as déjà fait l’amour aujourd’hui ? Ça t’intéresse ? » à tous mes contacts FB, en guise de thérapie. C’était marrant certes mais elles sentaient tellement le dépit caché derrière ces mots qu’aucune voulu d’un rodéo (même celles qui me courraient après quelques jours plus tôt). Pourtant c’est bien de ça dont j’ai besoin, de chevaucher une princesse pour me remettre en selle. P’t’être que je véhicule en ce moment des émotions négative… J’devrais p’t’être me reposer et attendre que ça passe…

Ma pote a continué à me remonter le moral « tu sais, si je m’étais basée sur ta page FB, je serai jamais venue te voir, mais je ne regrette pas. Tu passes pour le pire connard et c’est pour ça que les filles veulent te punir, au nom de tous les badboys qu’elles n’ont pas pu avoir dans leur vie. Pourtant t’es plutôt humble, tu ne trouves pas trop beau, tu es conscient de tes qualités et de tes défauts, tu es juste un mec vrai. C’est peut être même ta force et ta faiblesse. Alors laisse tomber les frustrées et va de l’avant… »

Elle a raison, on est comme on est et faut tacher de faire au mieux avec ce qu’on a. Même si nombreux sont ceux qui essayent de se mettre en travers de notre chemin. C’est ça la vraie sagesse. Alors, quand ça va pas, je re-visualise les grandes choses que j’ai accomplies cette année et au cours de toute ma carrière d’écrivain scandaleux spécialisé dans les relations hommes/femmes. J’ai peut-être fait des conneries que les jaloux et les envieux me reprocheront, d’autres conneries moins pardonnables parce que j’étais jeune et con mais je suis aussi sorti avec des demoiselles géniales. Et quand je repense au plan à trois, j’ai la demi-molle rien que d’en reparler. « La critique est aisée mais l’art est difficile », c’est ça le binz…

Bordel j’ai lu assez de bouquins de philo, de développement personnel et de tantra pour capter que la vraie force c’est d’être toujours chaleureux, souriant et authentique malgré le climat ambiant d’indifférence, voire de haine. Le vrai bonheur c’est pas d’être autiste, Aurélien, ça c’est la facilité. Le talent c’est pas de lever toutes les filles qu’on croise mais bien de savoir ce qu’il faut ou aurait fallu faire dans telle ou telle situation, même quand on se plante. Maximiser ses chances et tenter le coup, toujours, ne pas baisser les bras, c’est la clé. Avoir des valeurs et s’y tenir est à l’origine de ce processus. Je parle de valeurs basées sur des fondations solides, qui ont fait leurs preuves. Ainsi, quand des sous-merdes se permettent d’essayer de nous prendre pour un con, ben, nous savons qui est le con au final… et on a même pas besoin de lui dire, parce qu’on n’a plus rien à se prouver ni à prouver aux autres !!! C’est vrai quoi, si une meuf préfère un pédé maigrichon les cheveux plein de gel qui passe ses week-end ivre mort à sniffer de la coke et à gesticuler en boîte à un gars cultivé qui a un mode de vie sain, qui réussit dans la finance, et qui n’a rien d’efféminé parce qu’il part du principe que les meufs ne sont pas lesbiennes, c’est peut-être qu’elle sent au fond qu’elle n’est pas à la hauteur… « chacun ses goûts. » Mais ceci est un autre débat. « Plaire à tout le monde c’est plaire à n’importe qui. »

Allez, ça va mieux. Il y a quand même des nanas intelligentes sur cette Terre, qui feront le bon choix entre se prendre la tête et prendre leur pied en toute impunité.  Et parmi ces femmes de valeur, y’en aura une qui me donnera envie de bâtir quelque chose, quitte à faire des concessions, parce qu’elle sortira du lot. Cette femme me reconstruira et pourra profiter de tout ce que j’ai à offrir. C’est pour ELLE que je fais tout ça, et j’espère que si je n’arrive pas à mettre la main dessus, elle me trouvera la première…

Modestement,

Que le Dieu du Game soit avec vous !!! <3

À ne pas rater !
Abonnez-vous à la newsletter
Recevez ce guide, des conseils par email et plus encore !
Adresse e-mail non valide
Essayez. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment.

2 commentaires sur “Je viens de résoudre le grand mystère des relations hommes/femmes”

  1. Enfin un tout petit peu de romantisme dans tes textes…
    Je te lis de temps en temps, et souvent pas mal de choses me révoltent dans ce que tu écris, mais je finis toujours par me dire que si tes partenaires sont consentantes, personne n’a à juger.
    Ce qui me gêne en particulier c’est que souvent, tu décris les femmes de manière simpliste, comme manipulatrices avec les hommes, égocentriques, voire malveillantes…
    Tu te moques de cette fille qui dit « tous les mecs sont des connards » mais tu fais exactement pareil ensuite en généralisant par « les femmes ne respectent que les hommes forts ». C’est vrai pour certaines, mais certainement pas pour toutes. C’est juste une question de maturité selon moi.
    Il y a du bon et du mauvais de chaque coté, il faut pas généraliser. Les filles biens existent évidemment, et je suis sûre que tu vas trouver celle que tu décris dans ce joli dernier paragraphe !

  2. Il ne généralise pas, seulement tu n’es pas sur la même longueur d’ondes, il parle d’une autre sorte de respect, d’une autre sorte de gentillesse.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *