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Plan à trois avec une babacool

Plan à trois avec une babacoolLe 14 juin 2016,

Cette fille babacool était sexy, cochonne et sympa

La Prof et moi avons passé le week-end à Ecully, chez ses parents qui étaient partis en vacances. Au vert, on était bien. On a eu beau temps, en plus. Elle a un peu fait une crise de nerf inutile, le vendredi soir parce que je regardais le foot et l’ai laissée cuisiner toute seule (c’est arrivé une seule fois en 8 mois de relation), mais bon… on a quand même passé un bon week-end, l’un dans l’autre.

Samedi, elle m’a demandé comment elle pourrait apprendre à arrêter de faire des caprices parce que ça la rend malheureuse, elle aussi, de se compliquer la vie pour rien du tout. Je lui ai dit que, elle aussi, fait parfois des trucs qui me gonflent mais que je prends sur moi quand je juge que ce sont des broutilles. Et que quand c’est important, je lui dis les choses à l’aide de la communication non-violente, au lieu de faire un scandale comme une hystérique. En guise de traitement, je lui ai donné trois livres de ma bibliothèque à lire, on verra bien ce que ça donne :
– Guérir son enfant intérieur ;
– Le moine et le philosophe ;
– Eloge de la lucidité ;

Dimanche soir, on a reçu la visite d’une nana de Tinder. Alors, elle, son cas était assez marrant. Je vais vous raconter l’histoire.

J’en avais marre d’interagir avec des connes qui savent pas baiser donc j’ai juste envoyé « hellow » quand on a matché (à prononcer comme dans la pub Orangina). Elle a répondu plutôt sérieusement « salut ça va ? » et on a parlé.

Au bout de deux minutes, je lui ai demandé si elle avait envie de rencontrer un couple : « oui, ça fait un moment que j’y pense. » On a donc commencé à discuter normalement.

On a appris qu’elle avait un petit garçon donc ne pouvait pas se libérer facilement. On lui a demandé des photos coquines et elle nous a demandé un numéro de téléphone pour nous les envoyer. Je lui ai donné le mien… ça, c’était début mai. Et puis… plus rien.

Plus rien… jusqu’à jeudi dernier. J’étais avec ma chérie en train de faire le montage de ma première vidéo Youtube. Et soudain, mon portable a vibré (j’ai failli le confondre avec le gode de mon meuf) : deux photos de la fille, nue, bien sûr. Elle a eu la bonne idée de signer en nous rappelant son prénom et sa provenance (Tinder).

On l’a donc invitée chez La Prof dimanche dernier. Elle a dit que ça l’excitait beaucoup de s’imaginer entre nous deux. On n’y croyait pas trop, on était un peu blasés depuis le flake de la dernière fois, en fait. Donc on pas fait vraiment d’effort de conversation mais, elle est venue.

C’est une espèce de baba cool pas mal foutue, sympa et surtout qui a un état d’esprit vraiment cool. Comme métier, elle « fait la saison », c’est-à-dire qu’elle vend sur un stand des vêtements qu’elle coud ou qu’elle fait venir de Taïwan. L’hiver je sais pas où elle fait son beurre mais, l’été, elle va au cap d’Agde. Mais elle n’est pas libertine, elle n’avait même jamais rien fait à plus de deux. Par contre, elle se tape souvent des meufs et des mecs de Tinder. Comme elle aime à dire, elle mène une vie de bohème.

Elle vit encore avec le père de son gosse, ils ont été ensemble dix ans (elle en a 28). C’est un vagabond lui aussi (il en a 40). Elle découche souvent et va baiser ailleurs. Ça le rend fou, paraît-il, et je peux le comprendre. L’histoire ne dit pas s’il fait pareil de son côté.

Du coup, elle est plutôt polie : elle avait amené du coca mais aucun de nous n’en boit parce que c’est plein de sucre. J’ai quand même pris un demi-verre par politesse. Elle a demandé si on voulait fumer de l’herbe mais on a décliné poliment.

Elle était un peu tendue mais s’est rapidement sentie plus à l’aise grâce à mes blagues nulles. Ma meuf aussi était tendue, elle me disait « j’ai mal au ventre » avant que l’autre arrive. J’avais dit à ma chérie de mettre une robe super sexy sans sous-vêtements. Du coup, je n’ai eu qu’à faire tomber ses bretelles pour démarrer le processus. Après que je l’ai mise seins nue, ma maîtresse a demandé l’égalité : « déshabillez-vous aussi, je me sens seule ». Ah, je peux vous dire que sous ses habits de gitane, la baba cool avait de beaux sous-vêtements !

Alors voilà, on était trois, nus, dans le salon de La Prof et on est allés dans sa chambre. Au début, on était debout en cercle. Je touchais les deux meufs : doigts dans le vagin et leur disais de se caresser le clito mutuellement. On s’embrassait à deux, à trois. A un moment, notre invitée s’est mise à me branler mais je ne voulais surtout pas que ma chérie se sente mise à l’écart donc je me suis occupé d’elle exclusivement. L’autre fille s’est alors alors mise à genoux pour me sucer. Et elle était goulue. C’était pas mal !

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Ensuite, j’ai allongé la baba cool sur le lit et l’ai léchée en duo avec ma chérie. Elle a dit « d’habitude je ne jouis que très rarement mais là je sens que ça va venir ». Ça a duré un moment, elle essayait de se débattre un peu mais ma meuf la tenait fermement. Elle a fini par exulter. Ensuite, elle a léché ma copine qui me suçait. Puis, ayant compris que La Prof n’avait pas joui mais qu’elle avait en fait simulé pour faire plaisir à Miss Dreadlocks, je l’ai doigtée jusqu’à l’orgasme. Les deux filles ayant pris leur pied et me sentant très viril, on pouvait enfin passer à la suite : les pénétrations.

Je me suis allongé et la baba cool m’a chevauché tandis que je léchais La Prof de façon à ce que les deux filles se fassent face. L’une était sur ma queue, l’autre sur ma tête. Je ne voyais pas grand-chose mais c’était assez drôle de faire ça. Il paraît qu’elle m’a, à un moment, baisé en position « pause caca dans les bois ». Moi, je sentais juste qu’elle bourrinait ma queue.

Puis, j’ai décidé qu’on allait changer : j’ai enlevé la capote et baisé ma chérie pendant qu’elle léchait l’autre. J’y suis allé très fort en levrette, je l’ai vraiment bourrinée. Elle a fini par tomber car ses forces l’abandonnaient au moment de re-jouir. La baba cool plutôt impressionnée voulait essayer mon coup de rein donc on a échangé. C’était maintenant elle qui léchait ma meuf tandis que je remettais une capote pour la démonter. C’est après quelques minutes à un rythme très intense que j’ai joui.

On a un peu parlé tous les trois sur le lit puis notre copine d’un soir m’a raccompagné jusque chez moi en voiture car il pleuvait. De plus, il était minuit (elle était arrivée à 21h30) et il n’y avait plus de métro. Or, lundi matin, je commençais à 8h30 à Chassieu, près du stade « Parc OL ».

Une fois chez moi, j’ai appelé ma chérie pour débriefer. Elle m’a dit avoir aimé et ne s’être pas du tout sentie jalouse. Elle a vu ça comme un travail d’équipe. Et elle a bien pris son pied ! Super !!!

Le lendemain, lundi donc, deux jours de commissariat aux comptes. C’était hyper chiant, mes patrons m’ont encore gonflé avec leurs manières de gros cons. Ça a commencé par des petits remarques assassines qui m’ont font sentir comme une merde. Des « pourquoi c’est pas fait ça ? », des « vous êtes sur quoi là ? » ou encore « ça c’est pas acquis alors on va être obligés de faire comme à l’école avec vous » (j’ai bientôt bac+8 donc nique ta mère).

Dans leurs comportements et dans leurs façons de parler, y’a aussi eu des trucs qui m’ont dérangé : ils mattent le cul des serveuses à midi et le commentent à voix haute, tout comme ils font avec les serveurs un peu efféminés « il est belle ». Ils prennent quasiment que de la malbouffe et jettent les quelques légumes qui l’accompagnent. Pourtant, dans leurs discours, c’est le genre qui se croit supérieurs à tout le monde. Surtout le plus gros (l’autre encore ça passe), il revendique sa grande intelligence « ah ouais entre gens intelligents, ça va tout de suite mieux ». Voilà donc pourquoi ça ne va pas très bien…

Mais je crois que j’ai compris d’où vient son problème au gros. En fait, il a un énorme 4×4 et tout, c’est ça qui m’a mis la puce à l’oreille. Vous savez ce qu’on dit : grosse voiture, petite bite et/ou vie privée à chier. C’est sans doute pour ça qu’il se sent obligé de se la péter pour compenser. Moi ça m’énerve : je trouve ça tellement ridicule de rouler des mécaniques comme ça et de jouer le cynique tout le temps. J’ai encore envie de changer de taf…

Ces gens sont très/trop différents de moi. Je ne sais pas franchement si je tiendrai les 3 ans que dure le stage d’expertise-comptable, au milieu de ces gros cons vulgaires, juste pour avoir le statut et aller me planquer en entreprise. Je me dis que je pourrais faire du contrôle de gestion ou des choses comme ça, ce serait beaucoup moins prenant et moins stressant.

Comble du comble (la goutte d’eau qui a fait déborder la vase), hier, ils sont allés à un apéro à 16h. Je pensais finir tôt moi aussi, mais non, ils m’ont dit de rester chez le client jusqu’à 18h pour faire avancer l’audit. En rentrant, j’ai été pris dans un bordel immonde avec les supporters belges et italiens. Y’a même eu une alerte au colis piégé dans le tram. Je suis rentré chez moi vers 20h, avec les nerfs à vif. Putain de CAC près du grand stade de Lyon pendant la coupe d’Europe de foot.

Ce matin, grosse blague, le gros est arrivé avec quasiment 1h de retard « il y avait un accident ». Il a dit ça pour essayer de se justifier alors le stagiaire qui était avec nous lui a demandé quelle route il avait prise. Verdict : ils ont pris la même, mais le stagiaire était à l’heure : c’est donc du foutage de gueule. Je crois que je vais commencer à en rire, y’a pas d’autre solution, sinon mes nerfs vont lâcher. Ou alors peut-être devrais-je le plaindre… Mais n’empêche, la fille de l’autre soir a dit « il est vraiment bien ton mec ». Alors pourquoi me faire traiter comme une merde au taf alors que je suis un putain d’alpha qui peut gérer deux bonnes meufs en même temps ?

Sinon, concernant Le Diplodocus qui nous a plantés la dernière fois, au dernier moment pour un plan à trois : je l’ai relancée avec un « alors pucelle ça va ? » Elle s’est immédiatement sentie piquée dans son ego et nous a dit qu’elle continuait de se taper des grands blacks à côté de « son copain ». Je lui ai donc demandé pourquoi elle n’était pas venue nous voir « ah mais je savais pas comment vous relancer ». Sérieux… il aurait pourtant suffit d’un « salut, on baise ? » Finalement, elle nous a proposé trois dates, et on a fixé le rendez-vous à vendredi prochain. On verra bien ce que ça donne. Je ne suis même pas sûr d’avoir encore envie de me la faire, j’ai pas aimé ses manières. Elle a intérêt d’être aussi bonne que sur ses photos.

Que le Dieu du Game soit avec vous !

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