Aujourd’hui, j’ai envie de vous raconter une rencontre sexe en Bretagne.
Parti draguer en Bretagne
Être studieux, sérieux, accompli spirituellement et s’épanouir… Ou sortir son zgeg en s’incrustant sur la photo d’un couple de japonais (incrustation et mécontentement), j’hésite.
Il y a quelques années, j’avais fait un crochet par la Bretagne, au festival Inter celtique de Lorient.
J’y ai pris une photo en boite avec un être humain doté de seins et elle a levé la jambe, rien de plus normal, me direz-vous.
J’ai aussi donné le numéro d’une hotline érotique à une Italienne qui me draguait et elle a voulu me frapper avec une glace.
Imaginez une ville remplie de stands et d’attractions, avec de l’alcool à volonté tous les 20 mètres, de la musique à gogo et des milliers de personnes dans la rue, joyeuses et bourrées. Je me suis dit, « chouette, une nouvelle terre à vandaliser ».
J’étais bien déterminé à découvrir le sexe en Bretagne !
J’avais déjà entendu parler de la Bretagne libertine
J’ai souvent entendu parler de la Bretagne comme d’une région libertine. Non pas que les gens vont plus qu’ailleurs en club libertin. Juste que les nanas y sont plus chaudes.
Je fantasme que le sexe en Bretagne est omniprésent. J’exagère sans doute mais j’me dis que c’est sûrement à cause du climat : il faut bien trouver un moyen de se réchauffer ! Et, après tout, sucer et jouir est un moyen comme un autre d’augmenter sa température corporelle.
En tout cas, ce n’était pas la première fois que j’avais une aventure avec une Bretonne. J’me souviens d’une qui était venue faire ses études à Aix et que j’avais prise en levrette, ma foi assez nonchalamment, dans ma baignoire après une soirée arrosée.
A lire : Mon anniversaire 2013 qui tourne en levrette dans la salle de bain
J’me souviens aussi d’une Bretonne mariée qui avait traversé la France pour venir me sucer la bite parce qu’elle adorait lire mes textes. Elle était comme qui dirait fan de moi. Elle faisait d’ailleurs de très bonnes pipes, si j’me rappelle bien.
A lire : Faire l’amour à une femme mariée quand on n’est pas son mari
Ahhh, que de bons souvenirs ! C’était prometteur. Du coup, j’avais décidé de me rendre sur place. D’aller voir à la source (source de Cyprine) !
Rencontre coquine en Bretagne grâce aux auto-tamponneuses
J’étais avec mes deux meilleurs amis, Hafid (un des amis d’enfance) et Arnaud (vous voyez Stiffler dans American Pie ? le même caractère). Nous étions en route pour une partie d’auto-tamponneuses.
Alors un peu allumés par les nombreux cocktails enquillés, je dois dire que nous adorions monter dans ces voitures, surtout pour rencontrer des filles, et ça n’a pas loupé.
La partie commença, nous avions pris place dans nos bolides respectifs. C’est alors que j’ai remarqué une voiture dans laquelle se trouvait une fille disons banale par effet de contraste avec la très jolie métisse d’environ 20 ans, courtement vêtue assise à ses côtés.
Je leur ai foncé dedans à plusieurs reprises, et par la force des choses, les demoiselles ont fini par me remarquer.
Ma mission « sex en Bretagne » s’annonçait bien !
Mission sexe en Bretagne
Le gong de fin de la partie a retenti, tout le monde a quitté la piste et s’est rangé sur les côtés. J’ai foncé vers les deux nanas qui discutaient sans bouger.
Mes deux collègues n’ont pas tardé à venir gratter l’amitié… « Salut les filles !
– Ah tiens, salut ! (sourire)
– Bon alors, vous pouvez me dire pourquoi vous n’avez pas arrêté de me foncer dessus tout à l’heure ?!
– Oh mais c’est toi qui n’as fait que ça !
– Oui c’est vrai, mais seulement parce que vous aviez l’air d’aimer ça. N’empêche que vous me devez des excuses car j’ai une côte déplacée…
– (rires) Bon, bon, pardon alors, vraiment (rires).
– (sourire) Embrassez-vous si vous voulez que je croie que vous êtes sincères… »
Les filles s’embrassèrent ! (ouch) « Mais (l’air ébahi) ?! Vous êtes lesbiennes ?!
– Non, ça ne va pas ! (sourire)
– Mais si ! Vous êtes lesbiennes, oh bah ça alors !
– (en me regardant) Non mais ça nous arrive parfois.
– (j’ai continué d’insister et à les charrier sur le fait que qu’elles étaient des lesbiennes refoulées…etc.)
– Comment je peux te prouver que je ne suis pas lesbienne (sourire). »
Séduction en Bretagne
A ce moment-là, j’ai eu le feu vert avec ma cible. Je n’ai pas hésité une seconde et l’ai embrassée durant un court instant. J’me suis retiré et ai remarqué que mes deux amis, occupés avec sa copine, nous avaient vus.
Je pris le numéro de la fille, probablement une bisexuelle, et nous décidâmes de nous en aller. La soirée continua, l’alcool coula à flots. Bien sûr, il y a une différence entre être complètement déchiré et avoir une « bonne chauffe ».
Le temps passa, il était alors 1 heure du matin et nous faisions route pour aller en boîte de nuit. Après la queue, nous étions en place, armés d’une bouteille de vodka et assis à un endroit stratégique.
Tantôt nous dansions, tantôt nous parlions avec des Bretons présents dans la boite et nous nous éclations vraiment !
C’est alors que j’aperçus de nouveau la belle métisse que j’avais embrassée deux heures auparavant avec sa copine. Je n’ai pas pu m’empêcher de me faire un film dans ma tête et de l’imaginer dans le rôle principal, celui de la suceuse bretonne
Je me suis donc dirigé vers elles avec un mojo décuplé. S’en est suivie une très courte conversation (je ne saurais me souvenir de ce que j’ai pu sortir à ma target). Tout ce que je sais, c’est que cette jolie métisse venait officiellement d’accepter un after avec moi.
J’ai immédiatement alerté Arnaud et lui ai suggéré de rentrer sans plus traîner. Aussitôt dit, aussitôt fait.
Je ramène une bretonne cochonne
Un taxi nous a ramenés, la fille, mes deux amis et moi à la maison de vacances d’Arnaud. L’autre fille était loin, probablement rentrée chez elle ou dans le lit d’un homme… (ou d’une fille…)
Nous arrivâmes dans la chambre d’amis. J’ai commencé à la déshabiller, et à descendre entre ses jambes. Le sexe en Bretagne me semblait bien engagé mais…
Mais scandale et hurlements montèrent du rez-de-chaussée. Mes deux imbéciles de compères étaient en train de se faire sacrément remonter par le père d’Arnaud qui n’arrivait pas à dormir à cause de leur vacarme.
Et, là, ce fut le drame ! La porte s’ouvrit et la lumière fut. Je me trouvais debout (et bien sûr tout nu avec mon épée bien en garde). La bretonne salope se cacha comme elle put avec des coussins.
Et voici le pire : « Tu me dégages ça de chez moi (en me regardant) et vous vous cassez » puis se tournant vers son fils « il y en a marre de tes conneries…etc. »
Baise en Bretagne
Je me disais que, l’idée même du sexe en Bretagne avec cette fille, c’était totalement plié, mort, adieu !
Alors, nous sortîmes, et puis « oh miracle ! ». La fille rit, c’était la première fois qu’une telle mésaventure lui arrivait. « Moi aussi, si on rentrait par la fenêtre une fois l’orage passé ? » Elle était open, « cool ».
S’en est suivie une bonne partie de baise.
Tout fut incroyablement simple et rapide.
Récapitulons : moins de 5 minutes, pour embrasser la demoiselle, sans pourtant avoir eu l’impression de sortir un game sophistiqué.
Simple, audacieux et rapide.
Ensuite, en boîte, moins de 5 minutes pour discuter avec la bretonne libertine et lui faire accepter franco un after chez mon ami. Et puis, cet incident avec le père de mon ami, qui aurait pu tout gâcher et bloquer la fille, mais non.
Peut-être était-ce une fille relativement open–minded, peut-être étais-je dans un grand soir ou alors peut-être que je lui ai sorti un jeu d’enfer de-la-mort-qui-tue sans m’en rendre compte… Honnêtement, je ne sais pas, mais le principal, c’est d’avoir passé cette nuit fort sympathique.
Pour le père d’Arnaud, peu importe, de toute façon les gens rêvent de moi nu. Dommage par contre que la pluie ait effacé le chat homosexuel qu’elle m’avait dessiné sur la main en guise de souvenir. « Objectif sexenbretagne : check, wesh ! » Elles ont des chapeaux ronds, vivent les bretonnes cochonnes.
Et, surtout, vive le sexe en Bretagne !
A la revoyure.
Votre coach en séduction (qui adore baiser en Bretagne),
Fabrice Julien
PS : si vous avez aimé ce format d’histoires, alors vous adorerez mes Diary of a French PUA 1, 2 , 3 et 4.
Je ne me souviens pas l’avoir lu dans Diary of French PUA 1 celui là, il date de quand ce FR ?
C’est un FR inédit 😉
Les bretonnes adorent les hommes des autres régions de France et d’autres pays
Ah voilà ! Je me doutais bien qu’il y avait un truc 😉